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mercredi 13 juillet 2011

Un enfant de 11 ans décède après avoir consommé un sandwich qu'il s'est lui-même confectionné


Un petit garçon de 11 ans se fait un sandwich chez lui et décède peu après, nous a appris Nice-Matin il y a deux jours.

Un drame qui a pris naissance dans un contexte anodin : l'enfant est chez lui, entouré de sa famille, dans un environnement sécurisé. Soudain, il se fait un sandwich. Une activité a priori sans danger.
Et soudain c'est le drame. Alors qu'il n'y a même pas de concombre dans le sandwich, l'enfant est pris de malaise et meurt.
ON N'EST PLUS EN SECURITE NULLE PART. Telle est la morale de l'histoire.
Ce drame pose plusieurs questions :
1 : que fait le gouvernement ? (il y a 20 ans, décédait-on après un sandwich ? Et on nous dit que la sécurité des personnes s'améliore ? De qui se moque-t-on ?)
1 bis : et que fait Sarkozy ? On ne l'entend plus, et soudain, COMME PAR UN FAIT EXPRES, un sandwich tue un enfant. Je dis ça je ne dis rien.
2 : Le sandwich était-il un pédophile refoulé, assouvissant une compulsion meurtrière ? A-t-on songé à une étude prospective sur les risques que les sandwichs pédophiles font courir aux enfants ?
3 : A quand une loi pour réglementer la confection de sandwich maison ? N'y a-t-il pas un quelconque membre du gouvernement pourvu d'un ami PDG de la grande distrib qui pourrait commanditer une mission parlementaire sur le danger de la confection maison de sandwich et obliger les Français à se fournir exclusivement en sandwichs confectionnés par les hypermarchés dans des conditions optimum d'hygiène et de sécurité ? Plutôt que de laisser des amateurs préparer des repas n'importe comment ?
L'occassion de réglementer le marché et d'interdire avec la plus extrême fermeté des comportements infra familiaux qui, pour banals et inoffensifs qu'ils paraissent, font courir un risque dramatique à la France de demain.
Une certaine honnêteté intellectuelle oblige à rappeler que l'article de Nice-Matin reconnaît que rien, pour l'instant, n'incrimine le sandwich, ni ses ingrédients. Ce qui ne signifie pas pour autant qu'ils ne soient pas coupables. On connait la perversité actuelle des fruits et légumes (surtout bio), qui ont profité de la confiance indue que nous placions en eux pour s'en prendre à d'innocents Français et causer leur mort.
Ne relachons pas notre vigilance. Les aliments ne sont pas nos amis. La mort est dans notre assiette.

Sources : Nice Matin

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